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Combien tes résidences sont aimées,

Eternel, maître de l’univers!

Mon âme soupire et même languit après les parvis de l’Eternel.

Tout mon être pousse des cris de joie vers le Dieu vivant.

Même le moineau trouve une maison,

et l’hirondelle un nid où elle dépose ses petits.

Moi, je soupire après tes autels, Eternel, maître de l’univers,

mon roi et mon Dieu!

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